Le long du chemin, de ce long chemin parsemé de fleurs bleues
Parsemée de coquelicots et d’églantines sauvages
Auxquelles les épines rentraient dans la chair,
Goutte de sang, coula sur mon doigt.
Le long de ce long chemin, j’espérais au bout y voir un cheval blanc,
Une prairie de printemps, évanescente et pas encore amère…
Je m’imagine au bout du chemin, qui mène quelque part, qui mene nulle part,
Il passe par le pont des amoureux, ou la rivière coule, oublie moult lupanars
L’amoureux, il est délicat comme une rosée de printemps
Ou a l’aube le jardin n’était couverte que de gelée blanche.
L’amoureux, il s’enivre de poèmes, de litanies et de chants
Qui partageront le monde en un conte parsème de rêves et d’amours convainquant
Il s’avère cristallin, ce verre, ou maintenant je repose mes lèvres et retrouve le parfum
De désirs qui palpitent et d’esprits angevins qui habitent tout prés de lui, l’amoureux
Alors je l’invite, à l’apéritif, au déjeuner, au vin blanc et à la liqueur
De faire de la poésie avec l’algorithme de ses sentiments, de son doux cœur
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