Longtemps je t’attendais dans le déboire et les oraisons
Hier je t’oubliais parmi le secret des labyrinthes
Aujourd’hui je m’en remets à ma vielle contrainte
Combien de temps futile reste- t-il ?
Courus comme des animaux bourrus,
Toi et mon idéel.
Tu semble maintenant t’assurer moins de querelle
Loin, encore et confiant, tu lève ta voix vers le ciel
Je ne peux pas oublier cet affront, que l’on se fessait, entourés de nos âmes cruelles
S’il te plaît, je t’attendrais jusqu’aux temps perpétuel
Toi aussi tu le sais l’amour est dépendant de cette étincelle
J’oubliais, il semble que nous vivrons tout deux
Un jour en harmonie réelle,
Pour toi joli cœur, mon ombre et ma demeure
Je ne peux que te l’avouer
Il n’y a pas d’autres chemins complaisant à battre le long du firmament
Tu le sais, ce que je te disais était de cesse pour toi, tu ma conquise par la pensée
Je te la remets aujourd’hui et jusqu’au derniers temps
Viens me chercher je te donnerais de beaux draps blancs,
De beaux draps….
Je t’avoue que je me suis suicidé, j’en reviens aujourd’hui dans ce poème
Dehors, 2010
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