vendredi 13 mai 2016

Amour

Mon grand amour, tu sais qui tu es !!!

Longtemps je t’attendais dans le déboire et les oraisons

Hier je t’oubliais parmi le secret des labyrinthes

Aujourd’hui je m’en remets à ma vielle contrainte

Combien de temps futile reste- t-il ?

Courus comme des animaux bourrus,

Toi et mon idéel.

Tu semble maintenant t’assurer moins de querelle

Loin, encore et confiant, tu lève ta voix vers le ciel

Je ne peux pas oublier cet affront, que l’on se fessait, entourés de nos âmes cruelles

S’il te plaît, je t’attendrais jusqu’aux temps perpétuel

Toi aussi tu le sais l’amour est dépendant de cette étincelle

J’oubliais, il semble que nous vivrons tout deux

Un jour en harmonie réelle,

Pour toi joli cœur, mon ombre et ma demeure

Je ne peux que te l’avouer

Il n’y a pas d’autres chemins complaisant à battre le long du firmament

Tu le sais, ce que je te disais était de cesse pour toi, tu ma conquise par la pensée

Je te la remets aujourd’hui et jusqu’au derniers temps

Viens me chercher je te donnerais de beaux draps blancs,

De beaux draps….

Je t’avoue que je me suis suicidé, j’en reviens aujourd’hui dans ce poème

Dehors, 2010 

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