Douce comédie
Tous tes refouloirs,
Je les sens parfois si vide
Comme se vide entre en moi
Et je les côtoyé, les ais côtoyés
Et les côtoieraient,
Dans le vent hivernal, ou tout n’est parfois qu’accablement.
J’irai comme toi, ou pas, dans mon petit joyeux bordel,
Au devant de la scène
Bien me faut tout ce qui est a moi,
Ce qui est là pour garder une once de mystère,
Soit.
Mes petits coups de théâtre, ce que j’écris là
N’est aussi un rêve et qu’il m’appartienne
Toi voyageur et moi comme ça.
Sais-tu que cet élan holocène.
Ce quiconque outre lois.
Ne fera que ce que l’on sème,
Comment,
Ma fois, je sais que je serai reine,
Et maintenant je crois
Qu’a mon carême, ma douce et sentencieuse joliesse,
Parfois,
Tu m’embaume de tant de leurre, ici ou absent,
Laisse-moi parfois en pleurs
Face à ma larme de raison.
Si l’on pense que c’est un poème, c’est que mes horizons
Peinent comme cette chienne qui meurtri, jadis mon salon.
Je ne sais quoi qu’il faille que je te ramène
Et j’irai glaner dans la toison, un peu de l’emblème
Qui fait la foison.
L’abondance n’est que du a cette carence qui contorsionne les prisons
Que la liberté s’emmêle
Et que nous soyons
Surpris par nos sahels
Si souffleurs de la déraison.
Une fois n’est pas coutume
Et si je me le permets,
Pardon,
J’attends à certains moments
Ta voix comme un frémissement
L’heure est à ma peine,
+Juste une petite ritournelle pour émouvoir ton nom.
Dehors, 2010
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