samedi 14 mai 2016

Cœur blessé



Ah que les cœurs blessés se targuent se narguent et se domptent

Comme une nouvelle vie en conte

Il n’y a pas d’autres solutions de trouver le pardon…

(J’oubliais les mécréants, ceux qui n’ont de leurs vies que la volonté de leur cœur extirpé)

Une once de bienveillance a soumis ces exultations sur le devant de la confiance

N’être en tout et pour tout,

Que la voix d’un autre paradis qui est celui qui est bien chez nous

Lorsque le dragon fut terrassé, enfin ils voient la réalité

Et ici plus que du temps qui passe

Tout n’est que ma fois qu’un abime et un reliant d’imagination

Ce beau miracle appartient qu’à la bienveillance de nos sentiments,

Vivre en alternance de regards, qu’il se pose mon cœur tremblant…

Pour l’espoir de ce qui me troublait d’alors, une simple histoire

Personne n’as tord, il y a des nuages blancs comme l’ivoire chargée de trésors

De la pluie d’argent et encore dans les endroits, les cimetières redouté

Certains réveillent les morts

Il n’y a pas de quoi en faire un ragot

La lettre était bien celle de la reine margot

Ici et là,

Les enfants jouent, à des jeux de l’oie,

Au confort bien mérité d’un déjeuner bien mérité

Voyez le confina des commanditaires, c’est la que la fin reprends une lieue de pandore à

Belphégor

Il n’y a pas de quoi penser plus, une fois de plus, ne pas pensez en désaccord

Juste valser encore et encore.

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