samedi 14 mai 2016

Mon Robinson, mon Corto



Tout y est

L’oracle des anges et les devoir de Palissandre

Les musiques des débâcles et les musiques tendres

Les mélodies du bonheur…

Et sur mes joues, quelques pleurs…

Ne voit tu pas au lointain,

Le chemin grandiose qui mène au saint des saints

Et dont le poison virevolte au-delà du Mythe de Caïn,

Sache oh grand espoir,

Tout en ma demeure reconnaissante du délice

Je m’évertue à faire tourner mes hélices.

Dans mon lupanar, dans mon couloir

Dans mon salon, ma cuisine.

Au delà des chemins et sur la route mutine.

J’exprime mon désir, celui de vivre d’eau fraiche et

D’un peu de liberté.

Vois-tu cher amant, cher mari,

Que je trouve en toi la fin des tourments

Même si parfois un petit doute ressurgit

Celui de la pensée, celui qui me fait avancer

Oui, poème au long court

Sirène a envie de te faire l’amour

Pourtant elle chante, elle s’en va parfois aux abisses

Regardant ce que lui dictent les lois, des contes apostoliques

Regardant parfois les pourquoi, les divagations des courtois

Mais ne donnant son cœur

Qu’a celui dont lui plait le bonheur.

Et celui là n’est qu’un seul et

Il sait que je saurais obéir à mon ouvrage

Chercher la poésie a n’importe quel âge.

Laver le linge, savonner mes mains

Me brosser les dents

Et rire quand je ramène de la poudre de perlimpinpin

Virevolter en chamades, dire aux idiots,

Oh que la vie est surprenante et belle

Et qu’on a l’envie d’y trouver les anges de Raphael…

Puis tout recommencera,

Dans les cycles des débonnaires,

Des lurons, des sérieux, des quantiques

Des horizons, des plafonds, des signes karmiques.

Plus de complaintes, mais juste des étreintes.

Dehors, 2010

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