Tout y est
L’oracle des anges et les devoir de Palissandre
Les musiques des débâcles et les musiques tendres
Les mélodies du bonheur…
Et sur mes joues, quelques pleurs…
Ne voit tu pas au lointain,
Le chemin grandiose qui mène au saint des saints
Et dont le poison virevolte au-delà du Mythe de Caïn,
Sache oh grand espoir,
Tout en ma demeure reconnaissante du délice
Je m’évertue à faire tourner mes hélices.
Dans mon lupanar, dans mon couloir
Dans mon salon, ma cuisine.
Au delà des chemins et sur la route mutine.
J’exprime mon désir, celui de vivre d’eau fraiche et
D’un peu de liberté.
Vois-tu cher amant, cher mari,
Que je trouve en toi la fin des tourments
Même si parfois un petit doute ressurgit
Celui de la pensée, celui qui me fait avancer
Oui, poème au long court
Sirène a envie de te faire l’amour
Pourtant elle chante, elle s’en va parfois aux abisses
Regardant ce que lui dictent les lois, des contes apostoliques
Regardant parfois les pourquoi, les divagations des courtois
Mais ne donnant son cœur
Qu’a celui dont lui plait le bonheur.
Et celui là n’est qu’un seul et
Il sait que je saurais obéir à mon ouvrage
Chercher la poésie a n’importe quel âge.
Laver le linge, savonner mes mains
Me brosser les dents
Et rire quand je ramène de la poudre de perlimpinpin
Virevolter en chamades, dire aux idiots,
Oh que la vie est surprenante et belle
Et qu’on a l’envie d’y trouver les anges de Raphael…
Puis tout recommencera,
Dans les cycles des débonnaires,
Des lurons, des sérieux, des quantiques
Des horizons, des plafonds, des signes karmiques.
Plus de complaintes, mais juste des étreintes.
Dehors, 2010
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