Après mon amertume transposée…
Me Permets-tu d’oublier la tracasserie ?
Vois-tu l’excitation s’exulte d’elle même
Sachant ne découdre qu’avec ce qui se relate dans ses propres méandres
Chers plaisirs pourpres,
Comme un doux ralentissement de la furie, une liberté retrouve dans l’immense.
A tous les déboires dont les quiproquos ne sont que bêtises
Je m’en vais, maintenant, goutant ta tendresse douce amère
Effleurant une partie du sublime
Sans plus jamais me contredire des milliers de fois a la seconde
Tu embaume le saint des saints, ta coupe est charnelle
Évoquant la diatribe des rêves félins
Suivant l’horizon qui vacille doucement,
Peines soulagées, espoirs plus jamais en vrilles.
Quelque sottise passée dans leurs insolences idiotes.
Tu t’imagine l’instant, le vrai
Celui dont le sens restera à tout jamais
Comme une feinte sans farandoles, ni dépourvu de sens
Emue par cette tranquillité heureuse
Qui se conçoit au sacre des carpes diem et sans les deus machinis
Tu m’exultes encore au lâcher prise
Et j’admets la futilité et le pittoresque d’une dégustation
D’un vin glorieux
Dehors 2010
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire