Si je heurte aujourd’hui, parfois son chagrin
C’est que j’ai heurté parfois le mien,
De pelennigration en conquête, d’heures secrètes en dialectes
Cela m’est égal, j’attends le bon vent qui nous assaillira
J’attends l’aube et le levant
Le coucher et le :
Il était une fois,
Parfois,
Nous savons que tout nous fessais défaut,
Le temps, le printemps, rude hiver et mauvaises infos
Mais je reste là à l’attendre, toujours pour lui mon cœur est tendre.
Une fois il croyait que je m’étais perdue
Je ne lui suis pas dit que je m’amusais un peu à transgresser,
En fessant semblant l’interdit
Il parait qu’il est sérieux, même un peu trop,
Moi salle gamine ahurie, fervente des bistrots.
Il m’a dit j’attendrais, je lui ai dis moi aussi.
Ceci dit je ne savais pas vraiment si l’on se comprenait,
Des fois y’a plus rien à comprendre
Dehors, 2010
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