Sachez résoudre l’énigme exponentielle du décalogue !
L’énigme éponyme du dilatatoire
L’énigme apostolique du purgatoire
Et l’énigme magnifique du défouloir !
Sachez appréciez l’entourloupe de la décadence folle de l’outrance redondante,
De l’oublie nonchalante et du visage en patente…
Il n’y a de gloire qu’a l’advenu, qu’a la charade,
Il n’y a de peurs que l’absolu, le pardon
Il n’y a de jubilée que de la monogamie oscillante,
Il n’y a de blessure que l’amertume sifflotante
Tu es parti quelques parts, dans tes pensées reposés
Les miennes sont élucubratoires
Et sur les chemins vers les fins sempiternelles des recommencements perpétuels
Il y avait pose là un vase en cristal qui inaugurait les plis des nouvelles postales
Et tu tremblais encore de ne voir apparaître
Le maitre de ces lieus, le candélabre en position démesuré
Le chantage dura assez longtemps, tu t’emmitouflas dans ton repos mérite
Tu t’abreuvas de vérités passagères
L’avenir délétère, l’avenir incombe à quelque uns
Incombe à toi, moi, et lui
Que la furie décalcomaniaque du tout et pour tout chevauche
La permanence du filet de tes commissions
Et tu t’endors après tout
Tu imagines et suffoque de plaisir
Tu t’émeus à l’inconcevable délicatesse qu’ils t on accordés
Tu ricane parfois en sifflotant un air guilleret
La prose est sans doute le vieux ustensile des sans rimes revenantes
Et toi tu étais une pacotille, celle là même sans regrets
Qui s’minimisait dans le sexe de ta femme
Etourdi et allumé.
Ton feu me revient maintenant dans l’antre à tout jamais
Je t’aime et toi tu penses aussi aimer
Perdue dans le reliant de certaines pensées, je m’enthousiasme
A l’aura des nouvelles fraiches de notre renouveau gentil
De nos larmes divaguant sur les draps blanc de ta liberté et la mienne, sans doute achalandé
De fioriture sans doute, truffée d’anacoluthe
Le printemps est arrivé.
Dehors 2010
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