samedi 14 mai 2016

Les étoiles



Plus de milles, et encore que reste t il de visible à l’œil nu de Van Gogh ?

Dans la nuit calme, reposée des tempête impétueuse de la veille,

Il regarde le ciel mouvant.

C’est la nuit, quelques avions passent et repassent,

Des fois je me demande si ce ne sont des ovnis…

Qu’avons-nous dans notre raison identifiée ?

Cassiopée, sa galaxie bien lointaine,

Et parfois, file une filante dans le ciel noir de noir de l’infini.

Souvent, la nuit nous emmène avec elles,

Lueurs, leurres des visions, vertes, ou rouges ou bleues ou pâles.

Et l’on se demande jusqu’où le temps brille pour nous dans cette nuit.

Comme tout ces mystères, loin de la planète terre, parfois la lune :

Elle, Reflet de l’astre de l’autre côté des 28 matins aux aurores boréales.

Et l’on dort, de rêve et de bizarres métaphores,

Dans le sommeil…

Comme dans l’infini des satellites eternels,

Rêves semblant rejoindre la savante lumière,

Inexplicable, faits d’aujourd’hui et d’hier.

Pourtant, ici, l’équation est terrestre,

Nous sommes bien idiots avec nos conflits

Notre misère humaine est qu’un petit destin devant l’immense espace.

Combien de matières, de vide et de lumières

Nous amènerons vers la vérité sincère.

Et stipulons que si tout est équations, mystère des particules,

Alors nous sommes de la fonction,

Qu’une brève apparition suivie d’un matricule.

Les anges suivant leurs nouveaux cortèges

Tremblent encore dans ce schmilblick, concert de vertige.

Et le diable, absorbant tout le mal,

Trou noir délétère resurgissant bien quelque part.

Inventez la matière c’est comme naître à l’univers

Qu’un jeu fait d’ombres, d’explosions et de « lux »

Ou « calme et volupté » semblent approcher

L’intersidéral, vitesse et mouvements collatéraux.

Devinez encore plus mais les particules de dieu

Va de plus ou moins l’infini.

C’est vraiment sans secrets que l’on peut

Tout ou rien expliquer,

De la nuit et ses secrets.

Van Gogh avait raison, les tournesols sont des fleurs de saisons.

Les corbeaux sont des glaneurs, et leurs croassements nous dépassent.

L’oreille coupée, cela le tracasse.

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